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Retour du soin du lundi 19 janvier
Bon-jour les lumières,
Je ne suis pas encore tout à fait “revenue” du soin. Quand je dis “revenue” je parle de la partie de moi en projection qui part en confiance et en conscience dans des fréquences très vibrantes afin d’encoder chacun de mes frères et sœurs qui le désire.
Bien-sûr, je ne suis pas seule, je suis ce qu'ils me disent comme “l’équipe au sol” et chacun de vous en fait partie. C’est donc tout naturellement que nos fréquences se sont retrouvées, attirées mutuellement pour s’unir, se ré-unir.
Cette partie de moi n’est pas encore revenue, pour faire simple, elle est toujours en contact avec les êtres lumineux nous aidant dans nos passages, étape par étape. Nous délivrant chaque fois un peu plus de nos illusions, nos affirmations, nos limitations. Pour vous parler un peu d’eux, ce collectif est une union d’êtres de plusieurs origines bien qu’un grand nombre d’entre eux soient issus par l’histoire d’une origine commune, celle des pléiades. Il nous a été annoncé le temps de la reconnexion avec vos origines, et aujourd'hui ils veulent que vous sachiez que votre appartenance va de plus en plus vous souffler en votre cœur les attirances, les affinités, l’attraction due à sa fréquence originelle.
Aujourd’hui ils souhaitent vraiment exprimer la suite de l’enseignement du 10 janvier, et plus particulièrement ce schéma de fonctionnement :
Information-> traitement de l’information-> émotion->action
Comme je vous l’ai partagé, le QG du traitement de l’information est notre conscience. L’information passée par son filtre, nous délivre un sentiment comme effet secondaire. Car la loi de cause à effet découlant de l’attraction n’omet aucune particule de l'univers, aussi microscopique soit-elle.
Pour mieux comprendre, je vais vous expliquer ce qu'il se passe lorsque je monte en fréquence pendant ces périodes de soins.
Lorsque je monte en fréquence, et plus je monte, ma conscience s’élargie et prend petit à petit considérablement le pas sur toute réflexion qui peut se soumettre à mon mental.
C’est comme être une coquille vide, un courant d’AIR. Petit à petit je n’ai plus aucun effort mental à emmètre (ou plutôt à m'en libérer) pour savoir, entendre, sentir, écouter.
Par exemple, dans ma fréquence quotidienne, je fais la distinction entre mon mental qui me cause dans ma tête et l’autre voix en moi qui ne s’entend pas. Celle qui est plus sage, rassurante, celle qui transmet l’idée, celle qui lorsqu'on l’écoute avec attention sans relâche chaque jour devient le porte parole de touts les êtres qui m’aident de l'autre coté.
Alors en fréquence quotidienne, j’ai ce choix. J’ai ce choix d'écouter ma conversation mentale ou de me vider la tête pour écouter la voix du silence derrière. Le choix est très souvent vite fait pour moi, j’ai tellement l’habitude de fonctionner en équipe avec mon Vrai moi et tous les êtres merveilleux que j'écoute mon mental sans prendre parti pour lui, en plaçant la voix du silence en priorité. Mais il n'empêche que ce choix demeure.
Lorsque je monte en fréquence. Ce choix disparaît peu à peu. Je sais que cela peu paraître bizarre ou pousser au questionnement : "mais alors nous n'avons plus notre mot à dire ? Nous sommes une marionnette ? “
C’est très difficile à expliquer mais la réponse serait oui et non à la fois.
Oui parce que l'information coule en nous sans jamais nous remplir, que nous n'avons aucun besoin de la soumettre à une réflexion et qu'elle est parfaite et sur mesure pour nous dans l'instant. Non, pour exactement les mêmes raisons.
Je vais vous parler d'exemple concret. Je joue avec mon fils à des jeux de quêtes pour le stimuler et surtout s'amuser. En tant “normal”, je peux savoir les réponses en faisant le choix de m'écouter. Par contre, quand je suis dans un état vibratoire comme celui où je me trouve pour les soins, le courant d'air que je suis sais tout, je sais exactement la fameuse case où se situe le corbeau caché dans le jeu. Je n'ai aucun effort à faire. C’est comme de savoir que le rose est rose en regardant une couleur, je dirais même que c'est encore plus simple.
Je me suis amusée à observer la vie dans cet état de fréquence élevé.
Je sais ce dont j'ai besoin à tout moment, ce qui vient à moi, à autrui. Je sais sans chercher à savoir. Sans chercher à vouloir montrer que je sais aussi. Sans chercher rien du tout. Pour mon mari cela est incroyable de m'observer. Ce qu'il trouve incroyable c'est de ne pas le trouver incroyable justement, c'est d'être témoin de cet état et de le comprendre instantanément.
D'ailleurs, dans cet état, je lui transmet sans dire mot. Je l'enseigne sans parler. Il m'a sorti des enseignements à table sans même que je les ai prononcé et au même moment que je les recevais.
Je sais ce dont j'ai besoin à tout moment, ce qui vient à moi, à autrui. Je sais sans chercher à savoir. Sans chercher à vouloir montrer que je sais aussi. Sans chercher rien du tout. Pour mon mari cela est incroyable de m'observer. Ce qu'il trouve incroyable c'est de ne pas le trouver incroyable justement, c'est d'être témoin de cet état et de le comprendre instantanément.
D'ailleurs, dans cet état, je lui transmet sans dire mot. Je l'enseigne sans parler. Il m'a sorti des enseignements à table sans même que je les ai prononcé et au même moment que je les recevais.
Dans cet état je n'ai aucune émotion. Je ne suis ni triste, ni joyeuse.
Je suis complète, entière, accomplie.
En m'observant je m'aperçois que le joie compense la tristesse par onde opposée.
En m'observant je m'aperçois que le joie compense la tristesse par onde opposée.
Que, comme je vous l'indiquait dans le soin du 10, ces deux ondes n'ont d'existence que par opposition. Alors je me sens comme si ces deux ondes ne formaient qu'un seul équilibre.
Je n'ai aucune envie de cherche à remplir ma tête. Et surtout, j'ai remarqué que c'est ce que nous les humains faisons plus de 90% du temps de nos journées.
Dans cet état il m'est parfaitement inutile de parler. Très très peu, juste par obligation de réponse à mes proches. Je ne ressens aucune utilité de m'exprimer car je remarque facilement que chaque expression consiste à libérer une émotion sous-jacente. Et vu que dans cet état ma fréquence vibre la justesse, je ne ressens aucun besoin de m'exprimer pour lâcher une pression positive ou négative.
Je ne ressens aucun intérêt à programmer quelque chose. La liste de course, ce que je dois faire dans la journée. Dans cet état c'est comme si l'on me demandait de faire de mon instant une illusion pour une autre illusion future. Comme de battre des bras pour faire du vent. Vu que je sais, non je SUIS ce que j'ai besoin et quand, je ne ressens pas la moindre utilité à remplir ma tête de devoir ou de programmation.
Je sais exactement l'instant où le courant me mène pour chercher mon fils à l'école. Faire une boisson chaude pour la monter à mon mari.
Je ne ressens aucune utilité à regarder la télé pour remplir ma tête de jugement.
Aucune non plu à faire le ménage pour me sentir mieux.
Je sais exactement l'instant où le courant me mène pour chercher mon fils à l'école. Faire une boisson chaude pour la monter à mon mari.
Je ne ressens aucune utilité à regarder la télé pour remplir ma tête de jugement.
Aucune non plu à faire le ménage pour me sentir mieux.
Aucune utilité à me remplir la tête car je suis comme un courant attiré par un courant plus haut, au delà des émotions qui me dictent mes droits et devoirs.
Dès qu'une question sort de la bouche d'une personne je perçois que ce questionnement est à plus de 99% porté sur un passé ou un futur, et je ne ressens aucune envie de sortir du courant de l'instantané. C'est comme se remplir la tête pour l'alourdir, pour avoir l'illusion de rester concentré. Je ressens la justesse de l'envie d'être centré sans remplir ma tête.
Mais mon dieu que je t'aime, je ne ressens tellement plus l'envie de me remplie la tête.
Mais ce n'est pas tout. Dans ce point zéro du temps, je vois les divergences et bifurcations des êtres incarnés.
Mon amie qui dit se faire confiance pour l'avenir et qui revient sur ses pas dès qu'elle doute n'avoir pas bien fermer sa porte. Comment ne pas converger d'ondes opposées quand d'une part l'être prône la confiance et de l'autre le mental nous soumet à notre crainte. Une seule semaine à veiller à ne plus rentrer dans cette onde opposée et sa vie en serait changée. Je lui ai même fait un schéma qu'elle a instantanément compris.
Mon amie qui dit se faire confiance pour l'avenir et qui revient sur ses pas dès qu'elle doute n'avoir pas bien fermer sa porte. Comment ne pas converger d'ondes opposées quand d'une part l'être prône la confiance et de l'autre le mental nous soumet à notre crainte. Une seule semaine à veiller à ne plus rentrer dans cette onde opposée et sa vie en serait changée. Je lui ai même fait un schéma qu'elle a instantanément compris.
Là où on rempli sa tête, on créer du temps, de la longueur.
Là où on rempli sa tête, on créer de la longueur d'onde.
Là où l'on créer de la longueur d'onde, on complique. On freine, on retient.
Je vois là où je peux paraître siphonnée; c'est là ou je n'arrive pas à remplir autant ma tête que beaucoup d'humains incarnés.
Je n'arrive pas à faire état de leur passé, ni même de leur question du futur, car ce courant dont ils lâchent la pression par la parole est celui qu'ils empruntent en se remplissant la tête pour garder le contrôle.
Quand moi je me la vide pour ne plus le subir.
Je n'arrive pas à faire état de leur passé, ni même de leur question du futur, car ce courant dont ils lâchent la pression par la parole est celui qu'ils empruntent en se remplissant la tête pour garder le contrôle.
Quand moi je me la vide pour ne plus le subir.
Je la vide, j'incarne le vide car jamais nul par ailleurs que dans le vide je ne me sens aussi complète, entière, empli du rien d'où tout vient, tout me traverse.
Je me vois comme une infusion de thé. Il y a cette passoire pour retenir les feuilles, mais je ne les laisse pas, je ne prend que l'infusion qui la traverse, le reste je le jette, je le confie à la grande et généreuse harmonie de la vie qui la prend dans son cycle, là où tout à sa place, rien de se fige , tout se renouvelle.
Quand je suis dans cette vibration, les informations de mes chères êtres bienveillant sont de l'air. Et dans cet air qui me traverse, la lumière s'infuse.
Quand je vous voit mes chère lumières, lorsque je vous partage mon infusion avec tout l'amour-conscience que je vous porte comme un prolongement de moi-même, je vous vois retenir ces feuilles pour les étudier, les comprendre. Pour sans vous en rendre compte, remplir votre tête.
Le savoir physique s'est progressivement creusé une place illusoire de choix. Une place illusoirement légitime. Car chaque feuille que vous examinez vous rempli la tête, quand seule l'infusion vous élève.
Essayez toujours de ne voir qu'avec la conscience. Sans jamais remplir votre tête. C'est un travail très délicat que je vous demande, mais en réalité, c'est le changement que nous vivons qui nous l'un-pose.
Les énergies supérieures sont des raz de marées qui balayent progressivement tout ce que nous prenons pour habitude de soumettre à nos pensées pour remplir notre tête. Sachez que plus les énergies vont vous élever, plus il vous sera difficile de remplir votre tête sans vous sentir déboussolé, voir frustré ou contrarié.
L'air de l'eau d'où nous sortons progressivement remplissait notre coupe. Notre tête.
Aujourd'hui, l'air du verseau que nous épousons, ne remplis que d'Air, fais de nous des courant d'air, des serviteurs conscients de la lumière. Un service LIBRE.
Aujourd'hui, l'air du verseau que nous épousons, ne remplis que d'Air, fais de nous des courant d'air, des serviteurs conscients de la lumière. Un service LIBRE.
Nous sommes comme les rideaux d'une fenêtre.
Nous pouvons être opaques et retenir la lumière sans l'exprimer, gardant un coté d'obscurité.
Ou nous pouvons être un voile léger, qui rediffuse la lumière de l'autre coté, en la laissant nous traverser pour chatoyer nos couleurs, jusqu'à devenir entièrement pure comme du cristal, et converger la lumière au centuple, par le prisme que nous sommes devenus.
Nous pouvons être opaques et retenir la lumière sans l'exprimer, gardant un coté d'obscurité.
Ou nous pouvons être un voile léger, qui rediffuse la lumière de l'autre coté, en la laissant nous traverser pour chatoyer nos couleurs, jusqu'à devenir entièrement pure comme du cristal, et converger la lumière au centuple, par le prisme que nous sommes devenus.
Quand je suis dans cet état de vibration, je ne retient rien, ainsi j'observe que rien ne peu me retenir. Rien de ce qui retient en apparence, rien de ce qui retient dans tout ce que mes frères et sœurs ont rempli dans leur tête.
Il n'y a plus cette frontière entre le réel et l'image in air. Il n'y a qu'une passerelle invisible qui relie les deux. Quand je suis dans cet état j'ai parfaitement conscience que la seule chose qui me contraint ne peut être que moi-même, uniquement que ce qui est défini et encré dans mon mental. L'agissement sur la matière n'est que le fruit de ma propre perception, de la frontière que j'ai défini par ce que j’ai rempli dans ma tête comme une vérité.
Hier, je regardais en conscience tout objet qui m'entour. Dehors sur le pas de ma porte, j'ai regardé devant moi, j'ai vu sous la pluie, la nuit, un petit arbuste. Je l'ai vu en conscience puis j'ai abaissé mes vibrations pour observer ce que je ressentirais. "Oh petit arbuste tout triste". Dès que ce sentiment m'a traversé, un être est venu à mes coté et m'a dit ainsi:
"pourquoi est-il triste cet arbuste?"
Alors j'ai pris cette exercice à cœur et j'ai déterminé les élément qui m'ont transmis ce courant.
- La pluie
- Le nuit
- Il est petit
- Le nuit
- Il est petit
"Tout cela résonne en toi de la tristesse, car c'est ainsi que tu les as défini à l'intérieur de toi, c'est ainsi que tu as rempli ta tête. Pourquoi ne te brancherais tu pas directement sur cet être ? Sur sa conscience à lui ?"
Je le fais aussitôt. Et aussitôt je ressens une conscience infiniment paisible. Il n'y a pas de sentiment, il n'y en a aucun, il n'y a qu'une conscience paisible d'être. Il y a aussi une gratitude de la pluie qui le nourrit, des étoiles qui lui tiennent compagnie, qui lui donne sa place dans l'harmonie.
Je me regarde et je vois en moi ce qui défini la tristesse. Ce qui a rempli ma tête pour déterminé cela.
Cela n'est pas le fruit de ma conscience, mais des feuilles de thé qui j'ai examiné. Que je n'ai pas jeté, que j'ai laissé, que j'ai rempli dans ma tête.
En regardant avec ma conscience, sans réflexion aucune, tout jugement à disparu et toute émotion instantanément aussi. Juste la valeur de ce qui est m'est apparu. Parfaite et Paisible. En équilibre.
C'est à moi de percevoir l'équilibre, non à l'équilibre de me démontrer son existence. Je n'ai pas à comprendre l'équilibre, j'ai à libérer ma conscience de tout ce qui me rempli, de ce qui me sépare de lui.
J'ai voyagé toute la journée du 19 et la nuit. J'ai vu beaucoup de lumières dans de multiples endroits, beaucoup dans des cités du soleil. Tellement d'instant dans leur yeux, le point 0 vous libérait de tout. Vous étiez vous et c'est tout.
J'ai vu des lumières se chercher. Chercher. Je les ai vu tourner et réfléchir avec tant de vigueur que les équipes choisissaient de les emmener par le sommeil pour les libérer de leur tête remplie. Quel amour conscient ils transmettent, sans jugement aucun, dans une simplicité extrême. Une reconnaissance éternelle.
Chacune est passée par un portail solaire qui à pu prendre diverses formes en vos souvenirs. Ce portail n'a rien de figé, il est comme un passage intérieur qui délivre des mentaux lourds accrochés. Certains portent leur mentaux comme une double peau, ce qui rend le passage plus douloureux. Mais tous êtes magnifiquement beaux, si vous vous voyez, vous vous aimeriez instantanément inconditionnellement, sans chercher à comprendre cet amour ni même à le ressentir.
J'invite chaque lumière à se servir des forces de la terre pour s'ancrer en elle afin d'être solide pour passer ces étapes en harmonie le mieux possible. Mangez des racines, buvez de l'eau, reliez vote conscience aux arbres centenaires, aux montagnes de sagesse. Enlacez-vous à votre mère, incarnez ici sur terre ce pilier des cieux que vous êtes.
Et surtout, surtout, veillez à cessez autant que vous pouvez de remplir votre tête. Laissez vous traverser, il n'y a que la lumière qui s'infusera, laissez le reste, toutes ces pensées transiter vers les hautes sphères. Ne les retenez pas dans un but de comprendre, laissez les vous traverser en conscience. Libérez-vous essayez, les effets sont instantanés, car rien ne pourra les arrêter ou les ralentir <3
Je vous aime les lumières, je suis ravie de vous retrouver bientôt. Ce jour 20 est très important pour votre maison intérieure. Il est un boosteur phénoménal pour tout ceux qui viderons le plein et accueillerons le vide instantanément. Ne cherchez pas à le faire surtout, soyez le vide maintenant, c'est tout, ne cherchez rien d'autre ! Le 2 de la maison intérieure et le 0 qui le porte haut dans votre divinité peuvent vous parler distinctement dans cette journée du discernement <3
Lulumineuse qui vous @ime.
Je vous invite à visionner ce film conseillé par mes loulous. Il est une mine d'or pour observer comment nous nous créons nos réalités. Observer les limitations de nos êtres pas nos pensées et nos émotions. Je vous conseille de le regarder sans remplir votre tête. Légers. Essayez de ne pas trop rentrer dans l'émotionnel même s'il nous y invite.